Le BDSM existe depuis toujours. Bien que dans les année 80 on parlait de SM, mais le Sadomasochisme avait trop mauvaise réputation et on rajouta le Bondage et la Domination pour en faire un acronyme plus subtil.
On retrouve donc facilement des écrits et des films qui abordé plus ou moins le sujet. Certains ont même influencé les pratiques de personnes un peu partout dans le milieu.
On a tous déjà entendu parler du Marquis de Sade et son histoire sulfureuse. Entre le scandale d’Accueil ou il attacha une femme au lit pour la flageller et la baiser. Et son penchant pour les prostituée, les orgies et la sodomie. Il faut dire qu'il y a de quoi parler. Sa fameuse œuvre Les Cent Vingt Journées de Sodome ont même inspiré un film de Pier Paolo Pasolini.
Autre œuvre dont on entend parler dans le milieu : Les Chroniques de Gor de John Norman. Il s'agit d'une saga littéraire de science fiction parlant de Gor, un monde parallèle. On peut donc se demander ce que cela à en rapport avec le BDSM, mais c'est assez simple en réalité. Dans tout ces tomes, l'univers qui y est décrit est organisé en castes et pratique l'esclavage. Bien qu'on y trouve des hommes esclaves, l'esclavage féminin y est majoritaire. En BDSM, certaine personnes qu'on nomme alors Goréen, se sont approprié des termes comme "kajira" qui désigne l'esclave. Ils reprennent également des positions Nadu, Sula ou encore Bara pour n'en cite que très peu. ou même des danses comme la danse de la ceinture, la danse de la chaîne ou la danse des six lanières, mais il en existe bien d'autre. Malheureusement pour le francophone, seul les 16 premiers tomes ont été traduit de l'anglais.
L'œuvre très rependue Histoire d'O de Pauline Réage, est sans doute celle qui fait vendre le plus de bague pour soumise. A l'origine il s'agit d'un livre écrit par une femme qui s'inspira d'un fantasme d'enfance alors qu'elle voulait écrire une lettre à son amant . Par la suite on en a fait un film qui est plus connu l'œuvre original et plutôt bien adapté. En résumé une femme est déposée par son mari dans un château. Les femmes y sont dressée pour subir la douleur et tout les actes sexuelle que les hommes désirent infliger. A sa sortie elle est esclave de son amant René qui loffre ensuite a Sir Stephen. La robe d'esclave de l'école fit fantasmer de nombreuse femmes. Le symbole le plus connu de cette œuvre est la bague décrite ainsi dans le livre "celle qui irait à son annulaire gauche. C’étaient de curieuses bagues de fer, intérieurement cerclées d’or, dont le chaton large et lourd, comme le chaton d’une chevalière mais renflé, portait en nielles d’or le dessin d’une sorte de roue à trois branches, qui chacune se refermait en spirale, semblable à la roue solaire des Celtes." A l'origine l'esclave porte cette bague afin que tout homme de membre de ce cercle privé puisse la reconnaître et profiter de sa personne s'il le désire. Bien entendu les soumise "O" et les Dominant "Sir Stephen" sont devenu nombreux sur internet.
Plus moderne encore nous pouvons lire ou regarder les films 50 Nuances de Grey. Né de l'envie de l'auteur de créer une parodie des livre Twilight, elle décida que le danger du vampire séduisant serait remplacer par celui du sadique fascinant et riche. Contrairement à l'œuvre precedent l'adaptation cinématographie fait perdre le peu d'intérêt que l'œuvre écrite pouvait avoir. La trilogie a eut le mérite d'ouvrir l'univers du BDSM au commun des mortels, il l'a même rendu un peu moins sordide pour certaines qui se sont mit à fantasmer sur le sujet. Malheureusement si on est un minimum attentif aux élément qui y sont décrit on découvre que le BDSM bien qu'accepter par les protagonistes principaux est assez décrié dans le fond. On peut commencer par le jeune monsieur Grey qui découvre le bdsm à l'adolescence alors qu'une femme d'âge mûre le manipule pour en faire son soumis. On peut enchaîner par la motivation de ce même monsieur pour devenir un Dominant qui est tout simplement de vouloir se vanger de sa mère et la faire payer. Pour conclure soulignons les pauvres soumises jetée à la fin de la durée du contrat et toutes totalement déséquilibrée... bref tableau malheureusement peu reluisant.
Dans les œuvre populaire il y le film La Secrétaire. Une jeune femme sujette à l'automatisation sort de son hôpital psychiatrique, trouve un job chez un avocat nommé Grey et alors qu'il décide de la punir pour ses erreurs elle apprécie la fessée donnée et s'en suit une relation entre les deux. Encore une fois je n'approuve pas vraiment le choix de partie d'une femme avec des problème psychologique... et la premiere scène SM n'est pas vraiment consentie à la base, mais s'il s'avère qu'elle apprécie cela. mais je pense que ce film est déjà plus agréable à regardé qu'un seul des trois 50 nuances cité plus haut. Il a également eux le mérite de faire découvrir des désires inavoué à de nombreuse femme et de leur présenter cette possibilité d'évolution de leur vie sexuelles.
Très connues dans le milieu Eva Delambre à écrit de nombreux roman dans l'univers du BDSM. Son premier livre Devenir Sienne parle d'une femme attirée par son boss et décrit son chemin vers la soumission. Très sexualisé, mais bien écrit. Ses livres sont généralement apprécié par les pratiquants.
Bien moins connu, mais ayant pour moi l'intérêt d'avoir le Maître de la soumise à la plume pour une fois. Sémitas Voluptatis de Paul Fontaine est agréable à lire et basé sur une histoire vrai. D'après les souvenir et les écrits d'un couple D/s.
Assez peu connu également et devenu difficile à trouvé j'ai adoré le film Le Juge SM (ou SM Rechter ou Domination). Basé sur l'histoire vrai d'un couple belge, il montre les début hésitant dans le BDSM, mais également les risques que les préjugés sur le sujet peuvent causer.
Très récemment sur Netflix est sortit le très drôle Bounding. Série américaine qui suit une jeune femme, Domina professionnel, dans les péripétie de son travail. Attention cette série est une comédie, elle joue donc sur énormément de clichés et de situation cocasse, mais elle est réellement très bien faite.
Moins exceptionnelle, mais très mignon. L'Amour en Laisse disponible sur netflix est un film assez agréable à regarder. Il met en scène quelques situations un peu exagérée, mais d'autre plutôt réaliste sans la maladresse de la découverte. Attention film coréen, leur culture implique parfois des exagération qui peuvent sembler ridicule par chez nous.
Je ne vous dirai pas que ma liste est complète et surtout je vous conseil d'explorer ses œuvres afin d'en avoir une idée complète et personelle.
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